21 janvier 2010

Chartres : Portrait d'une ville sainte (3 / 3)


Le contraste entre la banlieue et le centre-ville est moins saisissant par rapport aux années précédentes. Chartres a mené un intense réaménagement de ses banlieues, en rasant systématiquement les barres qui se substituent aux maisons pavillonnaires.



Vue sur la nef.
Lorsque l'édifice prit feu en 1836, la toiture en cuivre a fondu comme du chamallow. Aux dires des témoins de l'époque, des fleuves de lave rougeoyante s'écoulaient le long de l'édifice. Un aperçu de l'enfer.


Les gardiennes de pierre, figées jusqu'à l'Apocalypse, ont tout loisir de profiter du paysage.


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